Salut, sainte mère de Dieu !
Quand le salut de l’ange en ton âme a frappé,
tu as laissé ouverte la porte à l’Esprit-Saint
et il vint faire sa demeure en toi.
Bénie sois-tu d’avoir consenti
à mettre au monde le Fils de Dieu !

Quand se firent entendre les Anges
quand les bergers visitèrent ton humble demeure
et quand les mages arrivèrent de si loin,
tant de merveilles n’ont pas troublé ton cœur de mère
et déjà tu donnais au monde
celui que tu ne retiendrais pas !

Quand Siméon reçut l’enfant dans ses bras
et quand la prophétesse Anne se mit à parler
à tous ceux qui attendaient le salut d’Israël,
ton cœur de mère accepta le glaive de douleur
et tu devins participante au prix de notre rédemption.
Oh, salut, sainte mère de Dieu !

Oh ! Marie, ton écoute et ton consentement ont ouvert pour notre humanité les portes à notre sauveur et libérateur. Aujourd’hui, donne encore ton fils à ce monde en manque de repères, en recherche de sens.