- Qu’est-ce qui vous a motivés pour participer à cette ouverture ?

Ce qui nous a motivés, c’est de commencer à vivre cette Année Sainte par une célébration à partager avec la communauté des croyants ; un élan commun qui va nous guider toute cette année, en communion avec toutes les communautés du monde entier ; un sentiment d’unité.
(Béatrice et Jean-Louis, Carène, Pierre)
Cela me semblait important, j’étais fière d’être dans la délégation qui représentait notre paroisse et faisait le lien entre l’événement diocésain et la paroisse. Je trouve généralement très chouette les grands rassemblements, ceux où on se sent appartenir à une très grande famille, où on prie avec ferveur en grande assemblée, avec nos évêques et nos prêtres.
(Camille)

Découvrir ce qu’est un jubilé et vivre ce moment-là entre paroissiens.
(Marie)
L’envie très forte de vivre cette année exceptionnelle de célébration de la foi, le plus intensément possible. Ne pas aller à l’ouverture aurait marqué un 1er renoncement à la démarche spirituelle de cheminement vers la découverte de Dieu et de son message universel d’Amour, démarche que j’ai entreprise plus intensément il y a maintenant 2 ans. Et je ne me suis jamais senti aussi heureux et bien avec moi-même et avec les autres qu’aujourd’hui. Je sais qu’en vivant pleinement l’année jubilaire, mon cœur sera encore plus comblé d’amour, et l’espérance que nous offre le Christ en sera décuplée.
(Hervé)
- Quel est l’élément qui vous a le plus frappé ?
Le nombre important de participants, la ferveur autour de moi, et la joie d’être ensemble à prier : cette communion dans la prière a été si forte que bon nombre de passants se sont également sentis portés. Beaucoup de personnes semblaient surprises, sans aucune hostilité, et d’autres entraient dans la procession. Nous avons ressenti une grande fierté d’être chrétien. C’est extraordinaire et tellement beau à vivre.
(Béatrice et Jean Louis, Camille, Marie, Hervé)

A un moment dans la procession, des groupes se sont élargis, et les prêtres marchaient avec les fidèles, les sœurs avec les prêtres, les laïcs avec les Sœurs. Et nous avons passé la porte avec des groupes semblant s’être disloqués mais formant une communauté fraternelle.
(Pierre)
La proclamation du Crédo de Nicée Constantinople - dont c’est le 1700e anniversaire cette année - dans l’église de St Melaine. On pouvait ressentir l’unité des chrétiens.
(Carène)