Que vous inspire l’image ci-dessous : « Jésus, médecin de l’humanité » ?

Vous pouvez l’exprimer dans le cadre blanc sous cette plume ou à la suite des messages déjà écrits, sous forme de réflexions, texte, poème, prière…

Nous sommes appelées, en Jésus le Christ Rédempteur, à adorer et à aimer Dieu dans sa Justice. (Règle de vie)
Que vous inspire l’image ci-dessous : « Jésus, médecin de l’humanité » ?
Vous pouvez l’exprimer dans le cadre blanc sous cette plume ou à la suite des messages déjà écrits, sous forme de réflexions, texte, poème, prière…
Oui, Jésus est un médecin, un médecin pour tous de par le monde, ce qui est signifié par tous ces “drapeaux” de différents pays. Son visage, les yeux fermés, est totalement concentré sur la personne malade. Il la tient tendrement dans ses bras, manifestant beaucoup d‘empathie et d’affection. Il n’aime pas se tenir à distance, il s’approche de la personne malade ; celle-ci se laisse porter avec confiance. Partout, Jésus guérissait. Les gens venaient à Lui, parce qu’Il manifestait beaucoup de compassion, surtout à ceux qui étaient méprisés et marginalisés. Jésus touchait ceux qui souffraient de diverses maladies et Il se laissait toucher. Il les consolait et leur redonnait de l’espoir. Ainsi, on peut relire, dans l’Évangile de St. Marc, la guérison d’un aveugle ou bien l’histoire de la petite fille (Talitha coumi !). Ou encore celle de la femme, qui, depuis 12 années, avait un flux de sang. Jésus est encore là aujourd’hui : “Je suis toujours avec vous”. A nous de croire en Lui, de lui faire confiance. Jésus souffre avec nous, surtout en ce temps du Covid-19, cause de toutes ces hospitalisations, réanimations, décès … Jésus toujours en contact avec SON PERE, et toujours proche de chacun de nous.
Jésus tient dans ses bras une jeune femme. Il porte le stéthoscope du médecin. Elle a le visage et les mains bleutés de quelqu’un qui est très malade. On devine même qu’elle porte le masque caractéristique de notre temps de pandémie. Son vêtement – particulier – est un assemblage de tous les drapeaux du monde ! Elle est « l’humanité » qui souffre…
Jésus est le Médecin qui s’est pris de compassion pour elle, pour chaque personne malade de la planète, indistinctement. Le beau visage serein de Jésus s’est approché tout près de la malade qui semble ne plus pouvoir respirer, comme pour lui insuffler quelque chose de son souffle, de sa paix, de sa vie. Ses bras enserrent avec tendresse celle qui est à l’agonie et dont les bras et les mains n’en peuvent plus.
Jésus, nous le savons, aujourd’hui comme hier, Tu demeures avec nous, tu souffres de nous voir souffrir physiquement, psychologiquement, spirituellement. En ces temps si durs que nous vivons, viens au secours de notre impuissance et de notre lassitude, manifeste ta tendresse, redonne vie, goût de vivre et d’espérer à chacun de nous, à notre humanité !
Image surprenante ! Ce qui frappe c’est l’immense tendresse de Jésus : son visage, la position de ses bras, de ses mains…et puis ce stéthoscope ??? Il s’agit semble-t-il d’une malade qu’il tient tendrement dans ses bras. Une enfant ? Une jeune femme aux yeux fermés, endormie, endolorie, visiblement meurtrie ? Elle est revêtue d’un pagne aux couleurs des drapeaux de différents pays du monde…Les deux visages, celui du Christ et celui de la femme « humanité » posés l’un contre l’autre laissent en profonde contemplation. La femme tient dans sa main, la seule visible, une fleur de lys, symbole de cette attente à être renouvelée, lavée, res-suscitée…. Comme elle prend sens la prière que nous adressons fréquemment à Dieu au début de la messe : Jésus, Berger de toute humanité, tu es venu guérir ceux qui étaient malades… "
Comme les médecins et soignants d’aujourd’hui, Jésus a revêtu la blouse blanche. Le stéthoscope, autour de son cou, manifeste bien qu’il est médecin. Le vêtement du malade sur lequel on aperçoit les drapeaux de tous les états révèle que Jésus guérit et sauve toute l’humanité.
Jésus, dont le visage est tourné vers le malade, manifeste une infinie tendresse. Ses bras enveloppent le corps malade en l’entourant de toute son affection.
Seigneur, nous te prions pour tous les malades et particulièrement pour Emma, Jacques, Corinne, Bruno, François, les enfants malades et leurs parents.
Image surréaliste. Au temps de Jésus point de stéthoscope et les drapeaux n’existaient pas. Image ô combien suggestive traduisant le caractère universel de la mission de Jésus et sa volonté de salut pour l’humanité :Jésus drapé de fanions :« Je suis venu pour qu’ils aient la vie en abondance » (Jn 10/10). Jésus médecin, qu’est-ce à dire ? Le médecin a souci du bien de l’autre, il le fait avec empathie cherchant une qualité de vie pour son patient. En parcourant les évangiles, nous rencontrons un Jésus faisant des miracles. Nous touchons alors la profonde humanité de Jésus impactant toute sa pratique : il révèle l’amour universel du Père : « Jésus fût pris de pitié ». La pratique de Jésus médecin est toujours en corrélation avec l’annonce de la bonne nouvelle :« Ils partirent et allèrent de village en village annonçant la bonne nouvelle et opérant partout des miracles » ’Mt 4/28) La pratique des miracles ne fait pas de Jésus un thaumaturge. Les guérisons sont les signes annonciateurs de la bonne nouvelle. La guérison du corps devient vecteur de la guérison intérieure. Et cette pratique de Jésus implique la foi :« Si tu veux tu peux me guérir…je le veux sois guéri » (Mc 1/40 sq) Jésus agit au nom de Dieu montrant son visage de tendresse et s’est engagé dans notre humanité jusqu’à la violence de la croix. Jésus médecin s’inscrit au cœur de nos vies ; à nous de reconnaître nos limites en acceptant de nos ouvrir à la bonne nouvelle de l’évangile. Le médecin Jésus a la douceur incisive de l’amour. En Jésus, Dieu nous opère à cœur ouvert : il fait le pontage entre Dieu et nous. R.Frénel
Oui, Jésus, je le sais tu peux me guérir et tous ceux de par le monde en état de souffrance. Y a t-il une page sans guérison dans le Livre ? Ton cœur s’émeut de toutes les détresses et il suffit d’un rien pour les briser : une parole, un doigt sur la bouche, un regard etc… Tu es un vrai guérisseur, dirait-on aujourd’hui. Et pourquoi les gens de ton temps couraient-ils derrière toi pour leur guérison ? Ils avaient confiance, ils avaient foi en ta Parole. Aujourd’hui, en ces temps de pandémie, tu ferais des heureux. Mais nous ne savons pas voir. Des miracles s’opèrent jour et nuit, mais ce n’est pas ceux que l’on attend. Les corps oui, et les âmes aussi. Et la plus grande des guérisons ne serait-ce pas ton pardon qui nous attend à tout moment…
Je termine avec cette prière de Newman : « Seigneur, apprends-moi à m’asseoir à tes pieds pour écouter ta Parole. Mes oreilles sont sourdes et ne peuvent entendre ta voix. Mes yeux clos ne peuvent discerner les signes de ta présence. Toi seul peut déboucher mes oreilles, dessiller mes yeux, purifier et renouveler mon cœur ».